Teinture Absinthe

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Nom Latin :  Artemisia absinthium Famille : Astéracées Composition : sommités fleuries, alcool surfin bio 96%, teinture au 1:5 Goût : amer – chaud – parfumé État des tissus : dépression, atrophie Plantes récoltées au sein de la ferme, en biodynamie

Les bienfaits de la teinture Absinthe ?

Amère et aromatique, l’Absinthe est traditionnellement utilisée pour stimuler la digestion, particulièrement la perte d’appétit et les troubles gastriques issus d’une production insuffisante d’acidité gastrique (Commission E allemande). On peut citer l’inactivité de l’estomac ou de l’intestin, une faiblesse de la vésicule biliaire, des nausées, dyspepsie, malnutrition… L’absinthe aura également un impact sur les personnes souffrant de désespoir, de dénuement, d’abus ou de toute situation ingérable. Y compris lorsque le traumatisme est physique (dans l’herboristerie américaine, elle est utilisée sur le système musculaire et squelettique). Elle permet de retrouver le goût de vivre, aide à mieux « digérer » les évènements… Une application externe sera fortifiante pour les contusions et les entorses. On l’utilise aussi pour les érythèmes fessiers des nourrissons, ou encore pour de l’eczéma et des éruptions cutanées.

Précautions d’usage de la teinture Absinthe :

À éviter en cas de sensibilité aux amers, d’ulcère gastrique ou duodénal. Les fortes doses peuvent entraîner nausées et vomissements, et il peut être judicieux de ne prendre cette teinture qu’en doses extrêmement limitées (1 goutte par jour ou par semaine) afin d’éviter l’amertume et la dépression. Un complément alimentaire ne doit pas se substituer à une alimentation variée et à un mode de vie sain.   Pour en savoir plus, n’hésitez pas à vous rendre ici !! Informations tirées des enseignements de l’École Lyonnaise des Plantes Médicinales et Matthew Wood   Attention, les informations données sur ce site sur les propriétés et les modes d’utilisation des plantes s’appuient sur les usages traditionnels. Elles sont données à des fins culturelles et ethnobotaniques, mais n’ont aucun but thérapeutique. Elles ne peuvent se substituer à une prescription médicale et ne sauraient engager notre responsabilité.